par Qu’appelle-t’on “applications critiques” ? Une application critique est une application que l’on estime essentielle à l’activité d’une l’entreprise. Elle est nommée “critique” car ses moindres dysfonctionnements ou sa simple non disponibilité pourrait avoir un impact significatif sur le fonctionnement même de l’entreprise, sur sa rentabilité ou son image. Le choix de considérer telle ou telle application comme critique dépend bien évidemment du secteur concerné. Il reste de l’appréciation de chaque entreprise de déterminer quelles sont ses besoins en réactivité et disponibilité au niveau applicatif.
D’une manière générale, on essaie autant que possible de stabiliser les applications sensibles ou critiques car elles sont corrélées aux activités vitales de l’entreprise. Dans un contexte de production par exemple, la moindre baisse de régime (mise à jour, application d’un correctif, problèmes de latences dues aux actualisations), est souvent mal vécue par les utilisateurs qui voient là, à juste titre, une perte de productivité plus ou moins significative.
La maturité des plateformes X86, en termes de performances et de fiabilité
Tous les acteurs de la virtualisation s’accordent aujourd’hui pour affirmer que les plateformes X86 sont parvenus à maturité, tant sur le plan des performances que de la fiabilité. Elles représentent à l’heure qu’il est une véritable opportunité pour les applications vitales des entreprises, jusqu’à présent contraintes aux environnements propriétaires. Eric Debray et Hervé Renault évoquent dans cette vidéo les bonnes pratiques constatées auprès de leurs clients ayant franchi le pas. Le cas de SAP pourrait être exemplaire. Conclusion : serveur UCS utilisés avec VMware, voilà assurément la solution gagnante pour gérer ses applications critiques ! Mais on ne vous a rien dit…
Quels sont les avantages pour les utilisateurs ?
Rappelons que le moindre problème lié au fonctionnement des applications critiques est perçus par les utilisateurs (clients, employés ou commerciaux) comme une atteinte brutale à la qualité de leurs activités courantes. C’est à la fois une perception forte et une réalité plus ou moins pénalisantes dont certains effets peuvent être véritablement désastreux ! La perte de productivité imputable à de “simples latences” ayant lieu lors de mise à jour de logiciels peut être dommageable pour l’ensemble de l’organisation. C’est la raison pour laquelle la virtualisation des postes et des applications va permettre de centraliser ces derniers dans le datacenter plutôt que sur les postes locaux. Les applications et postes de travail sont alors fournis aux utilisateurs “à la demande” quel que soit le périphérique souhaité et la localisation de l’utilisateur.
Quels sont les avantages pour les équipes en charge du déploiement et de la maintenance ?
En tant que DSI, vous aurez à décider si la virtualisation de vos applications critiques constituera ou non un gain en souplesse et performance. Quels sont les arguments décisifs pour franchir le pas ?
Il est possible de planifier la maintenance de vos applications
Mettez en place la planification des applications que vous utilisez et vous comprendrez tout le bénéfice à en tirer en termes de confort d’utilisation. C’est vous qui déterminez la date et l’heure de la maintenance, ce qui garantit par ailleurs la plus grande disponibilité pour les applications que vous gérez. Dans le cas d’une maintenance de logiciel vous n’avez qu’à migrer la charge de travail sur un autre serveur pour continuer à travailler.
Bénéficier d’un plan de reprise d’activité et de la restauration système sans égale
La virtualisation des applications simplifie l’environnement permettant une reprise d’activité rapide et une restauration du système. Il est possible d’en régler la planification.
A partir de quand va t’on profiter de la virtualisation dans le cycle de vie d’une application ?
La virtualisation joue un rôle primordial dès les premiers tests de déploiement et chaque fois qu’une difficulté se présente. Dans le cas des mises à jour par exemple. On gagne en souplesse lorsque l’application fonctionne dans une Machine Virtuelle, les interventions se déroulent dans un environnement sans aucune comparaison avec un environnement traditionnel.
La virtualisation des applications en chiffres
Il ne fait plus débat que le cloud va s’imposer dans les infrastructures. Les chiffres de la progression respective de l’IasS, du PasS et du SaaS sont plus qu’éloquents !
Les services réseaux se virtualisent aussi !
Alors, faut-il virtualiser ses applications critiques ?
C’est l’objet de cette vidéo tout en complicité où l’on voit que les deux alliés (complices ?) historiques partagent une vision commune de la virtualisation. On y apprend qu’une combinaison des produits des deux grands constructeurs fait office d’alternative particulièrement efficace aux environnements propriétaires qui dominaient jusque là les applications critiques.
Alors, faut-il y aller ? On vous en laisse juge après ces 5 minutes d’échanges qui ne laissent aucun doute sur les orientations à prendre dès maintenant.
Eric Debray (Cisco), s’entretient dans cette vidéo avec Hervé Renault, Directeur avant-ventes chez VMware.
Et pour vous, la virtualisation de vos applications, c’est pour quand ?
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